9 points avec calculatrice suite --> pile- estérification. |
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A oscillateur mécanique : Une table à digitaliser est un dispositif permettant d'enregistrer les positions d'un système mécanique en fonction du temps. Un solide S de masse m=100g, relié à une soufflerie réglable est accroché à deux ressorts identiques à spires non jointives. On enregistre la position de son centre de gravité G au cours du temps à l'aide d'un ordinateur connecté à la table à digitaliser horizontale. L'oscillateur décrit ci-dessus est équivalent à un solide de
masse m accroché à un ressort unique de raideur k. La position du
centre d'inertie G est repérée par son abscisse x .A l'équilibre le
centre d'inertie G coïncide avec l'origine O du repère. On réalise
trois enregistrements dans les conditions suivantes :
B Application des oscillations électriques : Pour mesurer le taux d'humidité relative de l'air ( % d'HR) on peut utiliser le capteur appelé "humidistance" dont le principe utilise un condensateur de capacité variable avec l'humidité. On place ce condensateur dans le circuit ci-dessous dans lequel la bobine a une résistance négligeable. L'interrupteur est d'abord placé en position 1 pour charger le condensateur, puis basculer en position 2 pour le décharger. Un système informatisé d'acquisition de données permet de relever la tension aux bornes du condensateur au cours de la décharge.
corrigé enregistrement 3 : régime périodique ; puissance maximale enregistrement 1 : régime pseudo-périodique ; puissance un peu diminuée enregistrement 2 : régime apériodique ; puissance fortement diminuée XM : amplitude des oscillations (m) et F0 phase à t= 0, instant initial. XM = 0,1 m ; F0 = 0, car à t=0 l'abscisse x est égale à 0,1 m. d'après l'enregistrement 3 la période T0 vaut 1s. masse m : kg ; raideur k : force (N) longueur-1 avec : force= masse accélération soit kg m s-2. k : kg m s-2 m-1 ou kg s-2 ; m / k : kg kg-1 s2 = s2 ; (m/k)½ s'exprime en seconde et 2p est sans dimension en conclusion T0 = 2p (m/k)½; T²0 =4p² mk-1 soit k = 4p² m/T²0 = 4*3,14² *0,1/ 1 = 3,95 Nm-1. L'énergie mécanique (courbe 3) est la somme de l'énergie potentielle et de l'énergie cinétique à t = 0 l'énergie mécanique est sous forme potentielle élastique Ep=½kX²M. La courbe (1) représente Ep au passage à la position d'équilibre ( t= 0,25 T0) l'énergie mécanique est sous forme cinétique Ec = ½mv². La courbe (2) représente Ec E(t=0 )= ½kX²M = 0,5 *3,95*0,1² = 0,02 J. vitesse du solide au passage à la position d'équilibre : 0,02 = 0,5*0,1 v² v² = 0,4 ; v = 0,63 m/s. Dans le cas d'un régime speudo-périodique une partie de l'énergie mécanique est perdue dans les frottements mécaniques.
(1) régime pseudo-périodique: R faible (2) régime apériodique : R élevée. uc=uL soit q/C = Ldi/dt avec i = -dq/dt ( décharge) et di/dt = -d²q/dt² = -Lq" q/C = -Lq" soit q"+ w0² q=0 avec w0² =(LC)-1 et 2p/T0= w0. q= QM cos (w0+F0) ; dérivée première par rapport au temps q' = QM w0( -sin(w0+F0)) q" = -QM w²0cos (w0+F0) = - w²0q repport dans l'équation différentielle de la charge : - w²0q + w²0q= 0 , vérifiée quel que soit t. capacité : T =2p (LC)½ soit T²= 4p2 (LC) d'où : C= T²/ (4p2L)= (31,4 10-6)2/( 4*3,14²*0,2) = 1,25 10-10 F= 125 pF. a= 0,4 pF %HR-1. 122 = 0,4 * 43+b d'où b = 104,8 pF C= 0,4 h +104,8. h=(C-104,8 )/ 0,4 = (125-104,8) / 0,4 = 50,5 % d'HR.
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