accélération, satellite, polonium, condensateur, cinématique, circuit rLC |
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corrigé Le vecteur accélération est égale à la dérivée du vecteur vitesse par rapport au temps. Le vecteur vitesse est porté par la tangente à la trajectoire et à le sens du mouvement. AB : variation du vecteur vitesse et donc accélération sont portés par la droite (AB). Si la vitesse diminue, le vecteur accélération est dirigé de B vers A ; si la vitesse augmente, le vecteur accélération est dirigé de A vers B. En N et P, on a construit le vecteur variation de vitesse. DE et EF : les distances parcourues pendant des durées égales sont égales ; la trajectoire est rectiligne : mouvement rectiligne uniforme, donc accélération nulle.
Ec= 0,5*1300*20² =2,6 105 J. Poids et Rn perpendiculaires à la vitesse, ne travaillent pas. Le travail des frottements est résistant : W= -f L La somme des travaux des forces est égale à la variation de l'énergie cinétique : 0-½mv²=-f L d'où f = mv²/(2L).
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On conssidère la Terre comme une sphère homogène de centre O, de rayon R et de masse M. Un satellite artificiel, de masse m, décrit une orbite circulaire dans le plan de l'équateur, à l'altitude h. On s'intèresse à la vitesse v du satellite dans le référentiel géocentrique.
corrigé référentiel géocentrique : solide formé par le centre de la terre et par les centres de 3 étoiles lointaines ; l'origine du repère est le centre de la Terre ; les trois axes pointent vers des étoiles lointaines qui paraissent fixes.
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Un échantillon est constitué de 150 mg de polonium instable 21084Po. qui se transforme en 20682Pb. Données : demi vie du polonium : t½= 138,3 jours. M(Po) = 210 ; M(Pb) = 206 g/mol. NA= 6,02 1023 mol-1.
corrigé particules correspondants aux nombres 210 et 84 pour le polonium : 84 protons ; 210 nucléons soit 210-84 = 126 neutrons 21084Po --> 20682Pb + 42He émission d'un noyau d'hélium ou particule a. nombre d'atomes de polonium présents dans l'échantillon neuf : m(g) / M(g/mol) * NA =0,15/210*6,02 1023 = 4,3 1020. loi de décroissance radioactive : constante de temps t = 1/l avec l =ln2 / t½=ln2 / (138,3*24*3600)= 5,8 10-8 s-1 ; t = 1,72 107 s. activité radioactive : notée A, nombre moyen de désintégrations par seconde, exprimée en becquerel ( Bq) A= l N = 5,8 10-8*4,3 1020 = 2,5 1013 Bq. l'activité est-elle égale au 1/8 ème de sa valeur initiale à la date : t = 3 t½ = 3*138,3 = 415 jours. à chaque période t½, l'activité est divisée par deux. A chaque noyau de polonium désintégré correspond la formation d'un noyau de plomb ; 87,5% des noyaux de polonium ont disparu soit 0,875*4,3 1020 =3,76 1020 noyaux. Il s'est formé 3,76 1020 noyaux de plomb ou 3,76 1020 / NA= 6,25 10-4 mol de plomb masse de plomb formé : 6,25 10-4*206 = 0,129 g = 129 mg.
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Soit un condensateur de capacité C= 2,7 mF ; la tension à ces bornes est 1000 V. Ce dernier est relié à un condensateur non chargé de capacité C'= 1 m F.
corrigé charge initiale : q0 = C U0= 2,7 10-6*1000 = 2,7 10-3 C énergie initiale stockée : 0,5 CU02=0,5*2,7 10-6 *106=1,35 J La charge totale n'a pas changée : q0 = q+q1. capacité équivalente à l'ensemble : C= 2,7 + 1 = 3,7 m F. tension finale U=q0 /C=2,7 10-3 /3,7 10-6 = 730 V. énergie finale stockée : 0,5*3,7 10-6*7302= 0,98 J. pertes d'énergie : 1,35-0,98 = 0,37 J. perte d'énergie par rayonnement électromagnétique et par effet joule dans les conducteurs lors de l'association.
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Une barre de cuivre MN homogène, de masse M, de longueur L peut glisser sans frottements sur deux rails rectilignes AC et A'C' contenus dans un plan incliné d'un angle a=30° par rapport à l'horizontale. Pendant tout le mouvement la barre reste perpendiculaire aux rails et le contact est maintenu. La barre MN est lâchée sans vitesse initiale.
corrigé poids Mg, action normale du plan Rn, frottement f . Ecrire la seconde loi de Newton suivant un axe parallèle au plan et orienté vers le bas : Mg sin a - f = Ma d'où a = g sin a - f /M ( constante) : le mouvement est uniformément accéléré si g sin a > f /M si g sin a < f /M, la barre reste immobile. relation liant la vitesse de la barre et la distance parcourue : écrire le thèorème de l'énergie cinétique pour une descente de longueur L: S travaux des forces = DEc. DEc = ½Mv²-0 = ½Mv² ; travail des frottement : -f L; travail moteur du poids en descente : MgL sin a. ½Mv² = L( Mg sin a - f) ; v² = 2L(g sin a - f /M) équation différentielle correspondant à la vitesse : valeur de f = k v avec k = constante et a = dv/dt d'où : Mg sin a -kv = Mdv/dt ; dv/dt + k/M v =gsin a. vitesse limite de la barre : Lorsque la vitesse limite est atteinte le mouvement est rectiligne uniforme et dvlim /dt = 0 k/M vlim = gsin a ; vlim =Mg sin a / k.
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On considère le circuit LC suivant :
Le condensateur de capacité C est initialement chargé ( Q0= 4,7 10-6 C). A la fermeture de l'interrupteur il est relié à une bobine inductive d'inductance L et de résistance r.
corrigé équation différentielle décrivant l'évolution temporelle de la charge q du condensateur : additivité des tensions : uAB+uBM=0 uAB=Ldi/dt + r i ; uBM= q/C ; de plus i = dq/dt = q' ; di/dt = d2q/dt2= q'' Ldi/dt + r i + q/C = 0 ; L q'' + r q' +q/C=0 ; q'' + r/L q' + q/(LC)=0 ; on pose w2=1/ (LC) ; q" + r/L q' + w2 q=0 (1) période propre et la fréquence des oscillations électriques : T= 2p(LC)½ = 6,28 (5,6 10-3*4,7 10-4)½=0,010 s ; f= 1/0,01 = 100 Hz. Les oscillations ne sont pas entretenues et on tient
compte de la résistance du circuit. Interprétation énergétique
de l'allure des oscillations électriques observées : au cours des
échanges d'énergie entre condensateur et bobine inductive, une partie
de l'énergie est perdue sous forme d'effet joule dans les résistances
électriques. L'amplitude de la grandeur visualisée diminue à chaque
période. nouvelle équation différentielle : uAB+uBM+ uMA=0 uAB=Ldi/dt + r i ; uBM= q/C ; uMA= -k i Ldi/dt + r i + q/C -k i=0 ; Lq" +(r-k)q' +q/C=0 relation entre r et k pour que les oscillations soient entretenues : r= k.
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