|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
corrigé Laser est l'acronyme anglais de Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation (en français, amplification de la lumière par émission stimulée de radiations). Les propriétés remarquables du rayonnement laser : - la lumière émise est monochromatique : une seule couleur, une seule fréquence. - la puissance par unité de surface ou éclairement est très grande. - le faisceau laser est cohérent et très directif. Citer au moins 4 types de laser : laser CO2 ; laser YAG dopé au néodyme ; laser hélium Néon ; laser Argon ionisé Les principaux dangers et les mesures de protection appropriée : - l'oeil est l'organe le plus fragile : la rétine peut être endomagée même avec des lasers de faible puissance ( 1mW) : port de lunettes spéciales. les brûlures cutanées : port de vêtements de protection et des gants . Le laser Hélium Néon 5 mW est-il dangereux ? section du faisceau à une distance de 2 m : S= p r² avec r = ½dq =0,5*2* 8 10-4 = 8 10-4 m = 0,08 cm S= p r² = 3,14*0,08² = 0,02 cm² éclairement : E= P/S = 5 10-3 / 0,02 = 0,25 W cm-2 = 250 mW cm-2 cette valeur est bien supérieure à la valeur du MEP ( 2,5 mW cm-2) : donc ce laser est dangereux.
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
I- Hydraulique : On considère une conduire cylindrique de diamètre d'entrée De =0,5 m alimentée par un débit d'eau Qe = 140 m3/h. Ds= 0,25 m
II- Hydrostatique : On considère un récipient cylindrique de hauteur h dont le fond a une section S. section S. Le récipient contient de l'eau jusqu'au 3/4 de sa hauteur et de l'huile d'olive dans le quart restant. S= 0,6 m² ; h = 1 m ; masse volumique de l'huile d'olive : rh= 800 kg m-3.
corrigé Hydraulique : vitesses de l'eau : Le débit volumique Qe ( m3/s) est égal au produit de la section Se (m²) par la vitesse ve (m/s) du fluide : Qe= Se ve section d'entrée pD²e / 4 = 3,14*0,5²/4 = 0,196 m² ; Qe= 140/3600 = 3,89 10-2 m3/s. ve =Qe/ Se =3,89 10-2 / 0,196 = 0,198 m/s ( 0,2 m/s) D'une part le débit volumique se conserve, d'autre part, la section de sortie est 4 fois plus petite que la section d'entrée : en conséquence vs = 4 ve = 0,8 m/s. le débit massique est constant et vaut : Qe *reau =140*1000 = 1,4 105 kg/h. les pressions statiques Pe et Ps : écrire le théorème de Bernoulli Pe + reau g ze + ½reau v²e = Ps + reau gzs + ½reau v²s Pe -Ps = ½reau (v²s - v²e ) + reau g(zs -ze ) d'une part ze -zs = ½(50-25) = 0,125 m ; reau g(zs -ze )= -1000*9,8*0,125 = -1225 Pa. ( pression statique) ½reau (v²s - v²e ) = 500 ( 0,8²-0,2²) = 300 Pa ( pression dynamique) Pe -Ps =-1225+300 = -925 Pa Lorsque la section diminue, la vitesse du fluide augmente, et la pression diminue. Les changements de sections brusques sur un
circuit d'alimentation d'un fluide créent des zones de turbulences.
pression p qui s'exerce sur le fond du récipient : pression exercée par la hauteur de la colonne d'eau : reau g heau ; pression exercée par la hauteur de la colonne d'huile : rhuile g hhuile pression exercée par l'air à la surface libre de l'huile : Pair= 105 Pa ; d'où p = reau g heau + rhuile g hhuile + Pair= p= 1000*9,8*0,75+800*9,8*0,25 + 105 = 7350+1960+105 =1,093 105 Pa. Force résultante qui s'exerce sur le fond du récipient : Une force pressante (N) est égale à la pression (Pa) multipliée par une surface (m²); la force résultante est égale à la pression exercé par les liquides fois la section du fond ( on peut penser que de l'autre côté du fond il y a de l'air) F= (7350+1960)*0,6 =5,6 103 N. |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Dans un calorimètre ( de valeur en eau me=50 g) contenant une masse d'eau me =200 g à la température initiale qi = 18 °C, on plonge une masse de cuivre mCu = 100 g prise dans une étuve et maintenue à la température qCu = 60°C. La température d'équilibre de l'ensemble se stabilise à qéq= 19,5°C. ce = 4180 J kg-1 K-1.
corrigé Energie gagnée par l'eau et le calorimètre : (me+ me)ce( qéq-qi )=(0,2+0,05) *4180*1,5 = 1567,5 J Energie cédée par le cuivre : mCu cCu( qéq-qCu ) = 0,1 cCu (19,5-60)= - 4,05 cCu. en supposant le système adiabatique : - 4,05 cCu + 1567,5 = 0 cCu = (me+ me)ce( qéq-qi ) / [mCu( qéq-qCu )]=1567,5 / 4,05 = 387 J kg-1 K-1
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
I- On veut préparer une solution de soude. On dispose sur la paillasse : - d'un flacon d'hydroxyde de sodium en pastille : masse molaire : 40 g/mol - d'un flacon d'hydroxyde d'aluminium en poudre masse: molaire: 78 g.mol-l - d'un flacon de chlorure de sodium en poudree masse molaire : 58,44g .mol-l - d'un flacon d 'hydroxyde d 'ammonium en solution : masse molaire: 35,04g .mol-l - d'un flacon de chlorure d'aluminium en poudre: masse molaire: 133,34 g.mol-l
II- acide base :
corrigé solution de soude : précautions à prendre pour manipuler la soude, produit corrosif : port de blouse, gants et lunettes de protection. Masse de soude solide à peser pour
obtenir 50 mL d'une solution de soude de concentration 1 mo/L
: masse (g) = quantité de matière (mol) * masse molaire (g/mol) = 0,05*40 = 2 g. Façon de réaliser cette solution de 50 mL de soude de concentration 1 mol/L peser deux grammes de solide ( balance de précision spatule et coupelle de pesée) verser dans un bécher et dissoudre dans un peu d'eau distillée ; rincer le bécher à l'eau distillée Placer le liquide dans une fiole jaugée de 50 mL et compléter avec de l'eau distillée jusqu'au trait de jauge. agiter pour rendre homogène. La mise en solution de ce soluté dans l'eau
s'accompagne d'un dégagement de chaleur.
Le pHmètre détermine le caractère acido-basique d'une solution aqueuse Ce dernier doit être étalonné avec deux solutions tampons ; la température doit être ajustée à celle de la salle. montage utilisé pour réaliser un titrage de l'acide éthanoïque par de la soude
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
L'amplificateur opérationnel est considéré comme idéal, c'est à dire que la tension d'entrée V+ est égale à la tension d'entrée V-. Le gain de l' AOP GO est infini ; les courants en entrées et en sortie de l'AOP sont nuls. On considère le circuit suivant :
corrigé On note i l'intensité du courant dans R3 et R4 et i' l'intensité du courant dans R1 et R2.
additivité des tensions : V1 = Vs+(R1+R2)i' (1) ; R4 i = Vs+R2i' (2) V2 = (R3+R4)i soit i = V2 / (R3+R4) puis repport dans (2) : R4V2 / (R3+R4) = Vs+R2i' (3) (1) donne i' = (V1 -Vs) /(R1+R2) puis repport dans (3) R4V2 / (R3+R4) = Vs+R2(V1 -Vs) /(R1+R2) d'où Vs = (R1+R2)R4V2 / [(R3+R4)R1]- R2V1 /R1. Si R2 R3 = R1 R4 alors Vs =R2 /R1(V2-V1) le montage réalise une soustraction des tensions (V2-V1) et multiplie cette différence par R2 /R1
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
On a analysé un matériau semi-cristallin par diffraction des rayons X. Tandis que l'on projette un faisceau de rayons X sur la surface plane de l'échantillon, on se déplace autour de celui-ci avec un détecteur qui mesure l 'intensité des rayonsX diffractés par le matériau. On a obtenu une série de points de mesure présentés dans le tableau suivant.
corrigé
Les personnes travaillant à proximité directe de l’appareil sont les plus exposés. Il faut prévoir des protections anti – rayons X adaptées pour les personnes présentes dans la salle : tablier plombé, paravent plombé, murs et portes plombées (ou autre matériau dont l'épaisseur est équivalente à 2mm de plomb).
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
On considère le circuit amplificateur suivant :
corrigé type de transistor est utilisé : NPN Calcul de la tension continue VB : on note i2 l'intensité du courant traversant R2 ; iB le courant de base. l'intensité du courant traversant R1 est égal à : i2+iB voisin de i2. par suite : Vcc = (R1+R2)i2 ; i2=Vcc / (R1+R2) ; VB= R2i2=R2Vcc / (R1+R2). VB=500*12/3000 = 2 V. Calcul de VE puis IE : VB= VBE+VE soit VE =VB- VBE =2-0,6 = 1,4 V. VE = RE IE d'où IE=VE / RE I = 1,4 /140 =0,01 A. Le transistor serait bloqué si VB était nul ; or VB= 2 V, le transistor n'est donc pas bloqué. Le transistor est saturé : IC<bIB. Calcul de Rc : VCC = VE + VCE + RCIE. RC= (VCC - VE - VCE) / IE = (12-1,4-0,1) / 0,01 = 1050 W.
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|