circuit RC et circuit RL ; saut en parachute |
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corrigé composition du noyau de l'isotope du radon 22286Rn: 86 protons et 222-86=136 neutrons 22286Rn -->AZX+42He conservation de la charge : 86=Z+2 soit Z= 84 et X est identifié avec le polonium conservation du nombre de nucléons : 222=A+4 soit A= 218. Faire la somme des n et diviser par le nombre de mesures : nmoy, = 8. L'activité moyenne est proportionnelle à la moyenne ci-dessus. Amoy= 80 *8= 640 Bq m-3. loi de décroissance radioactive : A(t)=A0 exp(-lt) lnA= ln A0 -lt. en représentant ln A en fonction du temps on obtient une droite de coefficient directeur -l et d'ordonnée à l'origine lnA0. valeur de la constante radioactive l du raddon 222 = valeur absolue du coefficient directeur de la droite : l=(6,5-5)/200 = 7,5 10-3 heure-1. la demi-vie t½ : durée au bout de laquelle l'activité initiale est divisée par 2. ln2 = lt½ soit t½ = ln2 / l= 92 h.
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Partie B Etude d'un circuit LC On réalise le circuit de la figure ci-dessous. Il comprend un générateur basses fréquences, une bobine de résistance r et une résistance R'= 10 kW montées en série. Le générateur délivre une tension en dents de scie de fréquence 1 kHz. Un dispositif permet de visualiser sur un écran d'ordinateur la tension uL(t) aux bornes de la bobine et l'intensité i(t) du courant dans le circuit (figure4).
à t= t la tension aux bornes du condensateur vaut 63% de sa valeur finale soit 1500*0,63 = 945 V lecture graphe t= 0,45 s ou bien abscisse de l'intersection de la tangente à l'origine avec l'asymptote horizontale. valeur maximale Wmax de l'énergie du condensateur : E= ½CU²max = 0,5*470 10-6*1500² = 529 J. uc(t)= A exp(-t/(RC)) à t=0 le condensateur n'a pas eu le temps de se décharger et la tension à ses bornes vaut 1500 V 1500 = A e0 soit A= 1500 V. relation liant l'intensité i(t) du courant et la charge q(t) du condensateur : i(t) = - dq(t)/dt relation liant la tension uc(t) et la charge q(t) : q(t) = Cuc(t) soit Cduc(t)/dt = dq(t)/dt=-i(t) équation différentielle relative à la charge : uc(t) = Ri(t) q(t) / C=R(- dq(t)/dt) soit q(t) + RCdq(t)/dt=0 solution de cette équation q(t) = q0 exp(-t/(RC)) avec q0=CUmax, charge initiale d'où en dérivant : dq(t)/dt = -CUmax /(RC)exp(-t/(RC)) soit i(t) = Umax / R exp(-t/(RC)) B= Umax / R = imax ( en début de la décharge), indépendante de la capacité du condensateur imax = 1500 / 50=30 A. expression de la tension mesurée sur la voie 2 du dispositif : u2(t) = -Ri(t) tension uL(t) en fonction des caractéristiques de la bobine, du courant i et de sa dérivée : uL(t) = Ldi(t)/dt + ri(t) quand l'intensité passe par un extrémum, di(t)/dt change de signe et la tension uL change de signe ( si on peut négliger le terme ri(t) devant L di(t)/dt) sur la figure la valeur de UL passe de 0,2 V à son opposé -0,2 Vquand l'intensité passe par un extrémum : de plus R'imax = 104*400 10-6 = 4 V, valeur bien supérieure à 0,2 V donc que r est négligeable devant R'. lecture graphe sur un intervalle de temps où l'intensité est croissante : di/dt = 800 10-6 / 0,5 10-3 = 1,6 As-1. uL=0,2 V = Ldi/dt = 1,6 L soit L= 0,2/1,6 = 0,12 H.
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La caféine
corrigé référentiel terrestre supposé galiléen ; repère lié au sol ( voir figure) ; système étudié : le parachutiste supposé ponctuel. le parachutiste est soumis uniquement à son poids , vertical, vers le bas, valeur mg. La seconde loi de Newton donne l'accélération coordonnées de son vecteur accélération : ax =0 et az =-g coordonnées de la vitesse initiale par rapport au sol : v0x=130/3,6 =36 m/s et v0z=0. le vecteur vitesse est une primitive du vecteur accélération : vx(t) =v0x=36 m/s ;vz(t) =-gt=-9,8 t le vecteur position est une primitive du vecteur vitesse : x= v0x t et y = -½gt²+h0 = -4,9t²+3000. trajectoire : éliminer le temps entre ces deux équations : t = x/ v0x = t/36 y= -4,9 /36²x² +3000 ; y = -3,7 10-3 x²+3000. date à là laquelle le parachutiste atteint-il l'altitude h1 : 1000 = -4,9t² + 3000 s'écrit t²= 2000/4,9 = 408 soit t=20,2 s. vitesse correspondante v1 lorsqu'il atteint l'altitude h1 : vx=36m/s ; vy= -9,8*20,2 = - 198 m/s : v1= [v²x+v²y]½=(36²+198²)½ = 201 m/s. diminution de l'énergie mécanique du parachutiste entre le départ au point A et le point d'altitude h1: la variation d'énergie mécanique est due à la diminution de l'énergie cinétique : ½mv1²-½mv'1²= -0,5*90[55²-201²)= -1,7 106 J. cette énergie est transformée sous forme de chaleur lors des frottements sur les couches d'air. l'unité de K dans le système SI : F= ½Krv²; s'écrit : K= 2 F/(rv²) : newton /( kg m-3 m²s-2) soit kg m s-2/( kg m-3 m2s-2) soit kg m s-2/( kg m-1 s-2): K est en m². équation différentielle du mouvement : le parachutiste est soumis à son poids, vertical, vers le bas, valeur mg et à la force F verticale vers le bas, valeur ½Krv²; la seconde loi de Newton s'écrit : mdv/dt = -mg + ½Krv²; Au cours de cette phase la vitesse diminue et se stabilise à une valeur v2. Lorsque la vitesse limite v2 est atteinte, le mouvement est rectiligne uniforme : mg =½Krv2² v2= [2mg/(Kr) ]½= [2*90*9,8 / (38*1,3)]½=6m/s ou 6*3,6 = 21,5 km/h
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