diffraction, interférences ; condensateur. |
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On se propose d'étudier l'évolution d'un mobile (M) de masse m= 500 g au cours du parcours proposé ci-dessous. Au départ le mobile se trouve en A. Il est laché sans vitesse initiale. Les forces de frottement sur l'arc de cercle AB, de rayon R=80 cm, sont considérées comme constantes, opposées à la vitesse et représentent r=25% du poids du mobile. g =9,8 m/s² ; q=45°
corrigé Vitesse du mobile en B :
f = r mg DEc= ½ mVB², la
vitesse initiale en A étant nulle ½ mVB² = mgR(1-cosq) -f R q = mgR(1-cosq) -r mg R q VB² = 2 gR(1-cosq-r q). VB² = 2*9,8*0,8 (
1-cos45-0,25*0,785) = 1,517 ; VB= 1,23 m/s.
Le vecteur vitesse étant toujours tangent à la trajectoire, est parallèle au plan incliné et dirigé vers le haut du plan ordonnée : VCy= VC sin a ; abscisse : VCx= VC cos a ; La variation d'énergie cinétique entre B et C est égale à la somme des travaux des forces ; seul le poids travaille car l'action du plan est perpendiculaire au plan travail résistant du poids ( ça monte) entre B et C : -mg L sin a. ½mVC²-½mVB²= -mg L sin a ; VC² = VB² -2g L sin a. remplacer VB² par : VB² = 2 gR(1-cosq-r q). VC² = 2 gR(1-cosq-r q)-2g L sin a.
l'énergie cinétique est minimum si la vitesse est minimum : au sommet de la trajectoire parabolique, l'ordonnée de la vitesse est nulle et l'abscisse de la vitesse vaut VC cos a. La vitesse prend alors sa plus petite valeur. Energie cinétique minimum : ½mVC² cos² a. angle b d'écartement maximum du pendule simple : L'énergie cinétique finale en E est nulle pour l'angle b. DEc= -Ec
initiale en C=- ½mVC²cos² a seul le poids travaille entre D et E ; la tension du fil , perpendiculaire à la vitesse ne travaille pas. travail du poids résistant ( ça monte) : -mgL'(1-cosb) th. de l'énergie cinétique : - ½mVC²cos² a = -mgL'(1-cosb) ; VC²
cos² a = 2gL'(1-cosb) ; période propre T0 du pendule simple : T0 = 2p(L'/g)½. T0 = 2*3,14*(2/9,8)½ = 2,83 s.
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corrigé Largeur angulaire a de la tache centrale : a = 2l/a = 2*630 10-9 / 5 10-4 = 2,52 10-3 rad. 2,52 10-3 *180 / 3,14 = 0,144 °. largeur d de cette fente centrale tan a voisin a = d/D
soit d= D a (radian) = 4* 2,52 10-3 = 10-2
m = 1 cm.
Si l'ordre d'interférence est un entier ( la différence de marche est un multiple de la longueur d'onde), les interférences sont constructives ( franges brillantes : éclairement maximal). k=d/l =ax/(Dl ) soit x =k l D/a avec k = 0, 1, -1, 2, -2, 3... interfrange i =l D/a = 630
10-9 * 1 / 5 10-4 = 1,26
10-3 m.
Pendant cette durée t la lumière traverse une épaisseur d'air égale à : ct = ne. Augmentation de durée Dt du parcours du faisceau issu de S1 qui traverse la lame : Dt= (n-1)e/c. différence de marche d' = d -cDt =d -(n-1)e. différence de marche au point O (d=0) : d' = - (n-1)e . calcul de l'ordre d'interférence en O : k=d'/l = -(n-1) e /l = -(1,5-1)10-3 / 630 10-9 =793,6 cet ordre est proche d'un demi entier,
donc en O la frange observée est presque noire.
Fentes S1 et S2 sans lame : frange brillante centrale en O. fente S1 avec lame d'épaisseur e = 0,01 mm et fente S2 sans lame ou fente S2 avec lame d'épaisseur e = 0,01 mm et fente S1 sans lame. L'ensemble du système de franges est déplacé du coté de la lame à l'abscisse x0 telle que : ax0/D= (n-1)e ; x0=(n-1)
e D/a = (1,5-1) 10-5 *1 / 5 10-4 = 10-2
m = 1 cm.
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corrigé E = UAB + UBN ; E=UAB + R i avec i = dq/dt et q= C UAB soit i =C dUAB /dt E = UAB +RCdUAB /dt U= A(1-exp(Bt)) ; dU/dt = -A B exp(Bt) repport dans l'équation différentielle : E= A(1-exp(Bt)) - RC A B exp(Bt) E= A - Aexp(Bt)(1+RCB) vérifiée si : 1+RCB = 0 soit B = -1/(RC) et si A= E. A la date t=T, E s'annule ; la tension aux bornes du condensateur vaut U0 inférieure ou égale à E. On choisi cette date t comme nouvelle origine des dates. Le condensateur chargé ( en partie ou complétement ) est en série avec un résistor : le condensateur se décharge à travers le résistor ; le courant de décharge a le sens contraire du courant de charge. UAB+ UBN=0 ; UAB - R i = 0 avec i = -dq/dt et q = C UAB soit i = -C dUAB /dt UAB +RC dUAB /dt =0 solution de cette équation différentielle : U=U0 exp( -t/(RC)). T= 10-6 s ; RC= 220*10-6 =2,2 10-4 s. U0 = E(1-exp(-T/(RC)) = 5(1-exp(-10-6/2,2 10-4))= 2,3 10-2 V. Le condensateur est très peu chargé puis il se décharge à travers le résistor : tension finale aux bornes du condensateur : U=U0 exp( -T/(RC)) =2,3 10-2 exp(-10-6/2,2 10-4)) = 2,2 10-2 V . T= 10-2 s ; U0 = E(1-exp(-T/(RC)) = 5(1-exp(-10-2/2,2 10-4))= 5 V. Le condensateur est complétement chargé puis il se décharge à travers le résistor : tension finale aux bornes du condensateur : U=U0 exp( -T/(RC)) =5 exp(-10-2/2,2
10-4)) = 0 V .
uCmax = um cos j avec cos j = 1/(Z Cw)= ( (RCw)²+1)-½. uCmax =( (RCw)²+1)-½ um. UCmax /um <1/(racine carrée (2)) ; ( (RCw)²+1)-½ <1/(racine carrée (2)) ; (RCw)²+1 >2 ; RCw > 1 ; w > 1 /(RC) or w = 2pf ; f >1 /(2pRC) ; f > 1 / (2*3,14*220 10-6) ; f > 724 Hz. Les amplitudes des tensions de fréquence
supérieures à 724 Hz sont plus petites que 0,707 um : ce
dispositif , dont la tension de sortie est la tension aux bornes du
condensateur, atténuent les fréquences élevées ; il ne laissent passer
que les fréquences basses.
uCmax = Imax / Cw avec Imax
= Umax/Z ; uCmax =Umax/ (ZCw )= Umax[(RCw)²+(LCw²-1)²]-½.
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